Chambre de Camlann.

[size=12]*Il faisait noir , mais malgré cette noirceur, j’arrivais à distinguer les gens qui couraient autour de moi. Quelques minutes plus tôt, ma mère, encore affublée de sa chemise de nuit, était venu me réveiller dans ma chambre. Désorienté et encore trop engourdi pour résister, je l’avais laisser m’entraîner à travers les couloirs de grande cathédrale. Elle me serrait un peu trop fort le poignet ,mais même si elle me faisait mal, je continuais de la suivre du mieux que je le pouvait, mon totem et le sien, nous suivant de près.

On entendit alors un bruit de bois qui vole en éclat , puis des cris à glacer le sang.

- Ils ont déjà franchit la grande porte…Il faut aller plus vite, dit-elle nerveusement.

- Mère, où allons nous? Il fait si froid…

Je n’eu pas le temps de terminer ma phrase qu’elle s’était retournée pour me regarder droit dans les yeux. Ses yeux soulignés de cernes contrastaient avec son visage pâle de fatigue.

-Le plus loin possible d’eux, me répondit-elle d’un ton qu’elle voulait sérieux afin de mieux masquer sa peur.

C’est alors que je sus que la situation était grave et m’efforçai d’accélérer mon pas.

Nous continuâmes de courir jusqu’au temple du dieu Auros, le dieu qui avait, jadis, choisi ma mère comme prêtresse. La pièce circulaire était remplie de statue à l’effigie du dieu père et d’offrandes que les gens lui avaient donner durant la journée. Le plancher dallé luisait à la lumière de la lune que laissaient passer les grandes fenêtres triangulaires qui entouraient la salle. Ma mère m’entraîna devant la plus grande statue. Elle y abaissa le bras de celle-ci et une trappe s’ouvrit à sa base. Elle se retourna vers moi tout en s’agenouillant pour être à ma hauteur. Ma mère me regarda dans les yeux et me dit d’une voix empreint de maîtrise:

- Camlann, Il faut qu tu m’écoutes et que tu fasses ce que je te dit. Reste dans ce trous et n’en ressort pas tant que je serais revenu te chercher. Tu as compris?

- Mais, mère…

- Il n’y a pas de mais! Tu entres dans le trous et tu ne bouges plus .

À ce moment, un martèlement sonore déchira le silence. On essayait de forcer la seule porte qui nous séparait des intrus. Ma mère se retourna rapidement vers la porte qui se bombait lors des assauts incessants des hommes.

- Entre vite!, s’écria ma mère tout en me poussant dans la trappe avec le corbeau avant de la refermer.

Derrière nous, la porte vola en éclat, laissant place à une foule d’homme hirsutes, armés jusqu’aux dents.

Je restai devant cette apparition, muet comme une tombe car je ne pouvais qu’assister au spectacle , impuissant.

Ma mère, quant-à elle, se tenait droit devant eux, sans laisser paraître d’émotions ni de signes de fatigue. Elle leva les bras au dessus de sa tête, puis prononça une incantation qui fit apparaître un halo blanc autour de la statue qui me protégeait. Paniqué par le fait que ma mère était magicienne, le chef de la troupe ordonna à ses hommes d’attaquer. Ma mère eu tout juste le temps de dégainer sa lame avant que le premier homme ne lui assène un premier coup qu’elle réussie facilement à esquiver.

Plus le temps avançait, plus d’hommes arrivaient pour finalement tomber sous des coups biens placés de ma mère magicienne qui enchaînait parade après parade sans qu’aucun ne puisse la toucher. Un D’entre eux s’avança, se détachant du groupe. Il allongea son bras devant lui, pointant de son pistolet, ma mère et appuya sur la gâchette. Celle-ci tomba, tel un oiseau abattu en plein vol. Elle me regardait de ses grands yeux noirs comme pour me dire une dernière fois combien elle m’aime, puis elle s’éteignit. Je m’entendit soudain hurler mon désespoir, celui de ne plus avoir de mère, d’être seul au monde…

-Non…!

Les cheveux imprégnés de sueur, le cœur battant, Je cherchais désespérément à retrouver mon souffle. Il y a des années que je n'avais plus fait de rêve du genre. Ces rêves issus de mon passé cauchemardesque.

Prenant appuis sur mes coudes, Je cherchais à tâtons le briquet qui me servait à allumer ma seule chandelle, mais sans succès. Je me levai alors d’un pas chancelant, cherchant à m’orienter dans le noir presque total. Je trouvai une bassine remplie d’eau et m’en aspergeai le visage. je relevai ma tête et soupirai d’aise.

-C’est fini…, me dis-je pour tenter d’apaiser mes sens toujours en alerte.

Mon regard croisa la glace d’un miroir accroché au mur devant moi. Je remarquai en premier mes yeux dépareillés commun à ceux de ma race. Le droit étant vert et celui de gauche noir et profond comme ceux des corbeaux, mon totem. En deuxième, j'aperçu mon nez bossu et légèrement recourbé et mes oreilles pointues, mes cheveux d’un noir de jais reluisants à chacun de mes mouvements étant dispersés en nombreuses mèches sur mon crâne rappelant un peu les plumes dont sont recouverts ma nuque, mon dos et mes immenses ailes qui prenaient naissance dans le haut de ce dernier. mon teint pâle les faisait d’autant plus ressortir.

Lorsque je fus calmé, un halo bleuâtre m'enveloppa et mon totem, Yül, alla se poser sur le rebord de la paillasse qui me servait de lit. Il m'observait de ses yeux profond, comme s'il cherchait en moi ce qui me mettait dans cet état.*

- Ce n'est rien, lui dis-je.

*Le corbeau pencha sa tête sur le côté semblable à s’il essayait de me dire qu’il ne me croyait pas. *

- Sache que je peux lire dans tes pensées ,Camlann... me répondit-il dans ma tête.

- Peu m’importe si tu peux ou pas, de tout manière tu connais la suite!

- Ah ah oui!, s’exclama-t-il, pour le savoir, oui je le sais! Tu as été capturé et vendu à un marchand d’esclave qui ta lui-même vendu au stade. D’abord tu devais n’être qu’un garçon de ménage, mais quelqu’un t’as accusé de vol et tu as été condamné à mort! Mais grâce à moi tu est toujours vivant, et en prime, tu es devenu le plus grand combattant de ce stade!

* Je souris à cette allusion. Il était vrai que lors de mon « exécution » Il y avait eu un vrai bain de sang…Cela avait peut-être choqué quelques uns, mais fait le bonheur de la majorité!* [/size]

*Evy se promenais dans les rue de la ville et s'arreta au pied du stade. La place gigantesse rappellais une prison. Couverte d'une longue cap noir a capuche qu'elle avais rabatu sur sa tete elle entra sans probleme dans le stade peu garder. Elle avait eu l'ordre de tueur un des gladiateur avec la fin de la journée... Le lendemain un combat devais avoir lieux et le pari, de trop grande emportance ne devais etre perdu. Annuler le combat était la solution la moins couteuse. Evy erra en évitant abillement les gardes. Les combat commencerais bientot et elle voulais les observé. Sa serais la première fois qu'elle assisterais a ce genre de spectacle. De plus elle allais pouvoir observé sa proie. Un gladiateur nommé Camlann*

*Quelqu'un donna un coup sur les barreaux de ma cellule. Je me retournai et vis le gardien qui s'était arrêté à ma hauteur. *
- Tu parles encore au mur! Ce que les gens disent de toi doit être vrai. Tu es fous! Peu importe, c'est bien que tu soit réveillé. Tu as un combat dans une quinzaine de minutes...

* Il ouvra la porte et me lancea mon armure qu'il tenait dans ses mains, une seconde plus tôt.*

- Dépèche toi! ton public t'attend..., me souffla-t-il.

* Silencieux j'enfilai ma tenue puis, l'armure qu'il venait de me donner. Le gardien me laissa passer devant lui et je me rendit en sa compagie et avec Yül, en direction de l'arène. Peu importe ce qu'il y avait derrière les grandes porte donnant sur le rond de sable, je tryompherai... *

*J'entrais dans le stade sous un torrent d'acclamations, mais je ne m'en occupait aucunement. Je regardais plutôt autour de moi, analysant le terrain. Bien sûr, c'était le même stade à chaque fois, mais je cherchais à trouver les trappes qu'ils allaient ouvrir.
comme à chaque fois, je me rendis ai pied du balcon où une masse corpulante, le gouverneur, s'empiffrait. Il me regardait du haut de ses kilos avec un air de dédain. *

-Je vous salut, Ô votre pilosité, m'exclamais-je. C'est un honneur pour moi de tuer ou mourir pour votre bon plaisir!

*Ma remarque ne sembla pas atteindre le gouverneur, peut-être était-il trop occupé a manger....
D’un seul geste de la main, il fit entrer en scène, au son de tambours, mes adversaires….*

*profitant du monde qui entrait je me mélé a la foule et entra dans les gradins. Je choisi consienceusement ma place de facon a pouvoir me sauver si besoin était. Je m'installer sur le banc de pierre mat. Le gladiateur qui entra étais justement ma proie. Je décidé de l'observer afin de mieux connaitre mon adversaire. Les surprise dans un combat ne sont jamais de bonne chose. ALors autant étuder un peu avant.*

* D'abord, ouvrirent deux trappes dans le sol, d'où jaillirent de chacune un fauve attaché par de lourdes chaînes. Je connaissais bien ce tour. Les fauves couvraient un certain territoire et je devais en aucun cas m'y retrouver ou je ne serais plus que de la paté pour chats.
Puis ce fut les grilles principales qui laissaient place à trois chars à roues tranchantes, tirés par quatres cheveaux qui transportaient deux hommes chacun. Un s'occupait de conduire le véhicule, tandis que l'autre s'occupait de défendre le char avec lances et flèches.

Je m'avançai de quelques pas vers le millieu de l'arène, pour ensuite m'arrêter. Je levai les bras dans les airs et Yül , qui planait au dessus de ma tête, fondit sur moi. Un hâlo bleuâtre m'enveloppa soudain et au moment où le corbeau allait me frapper, il ne fit plus qu'un avec moi.
J'était sous mon vrai jour en tant que Narah! *

*Intéressant, pense-je, un narah. Je les croyais disparu... Sa rendra le combat plus intéressant encore. Elle savourait d'avance la confrontation. Et espérais de plus en plus qu'il ne meure pas la. Pour une fois qu'une proie semblais en mesure de la confronter et être à son niveau. Elle ne voulais pas la perdre sans avoir pu jouer un peu avec.*

*Les chars longeaient les estrades, tournoyant autour de moi comme les prédateurs entourant leur proie. Quant au deux lions, Ils se provoquaient l'un l'autre.

Un des occupant du premier char lança sa lance vers moi. Je l'ai regarder venir droit vers ma poitrine puis, à la dernière minute, mené par une impulsion, j'évitai l'arme qui atterrit un peu plus loin dans le sable. Ils continuèrent ainsi jusqu’à ce qu’un javelot heurta le poteau qui maintenait un des lions attaché. Ceci eu comme conséquence de décrocher la chaine du poteau. Le fauve, une fois libéré, se jeta sur l'autre et n'en fit qu'une bouchée avant de s'en prendre aux chevaux attelés aux chars.
La foule était au comble du bonheur et scandait mon nom, même si je n’avait pas fait grand choses... Je profitai alors de la confusion des conducteurs pour me jeter sur eux épée à la main.
Je tranchai la tête du premier, tout en évitant la lame du second, puis le frappai à son tour, répandant ainsi, sur le sable, une mare rouge.
Je sautai à bord de l'autre voiture, le même manège s'y produisit. Et enfin, il n'en restait plus qu'une. Je sautai à bord de cette dernière, mais je fus accueillit par une plus grande résistance que les deux autres. Le tireur, que je n'avait remarqué atteignit mon bras gauche d'une flèche. Une douleur cuisante envahissait mon bras, mais mon attention se portait ailleurs, l'autre s'apprêtait à m'achever avec une massue. D'un geste rapide, je réussit à le stopper en plein mouvement. Je retirai ma lame de son corps convulsé avant de tuer l'autre.

Le combat terminé je m'occupai enfin de ma blessure. La flèche était entrée profondément à l'intérieur de mon bras. Un sentiment de bonheur m'envahit soudain. Ce combattant ne savait pas qu'il venait de me sauver d'une vie entière de servitude. Le flèche était allée assé loin pour détruire la puce qui m'enpêchait de m"évader.
Je la retirai de mon bras, puis me dirigeai vers le gouverneur, fit quelques courbettes et me dirigeai vers là porte d’où j’était arrivé, comme à l'habitude, sans que personne ne sache ce qui m'arrivait.
J’allais pouvoir enfin partir… dès cette nuit!*

*A la fin du combat je le regarda s'éloigner. Il avait l'air douer. Peut-etre pourrais-je avoir du plaisir a le tuer. Mais pour l'instant je vais allez voir la ville et je reviendrai au petit matin pendant le dernier tour de garde. Je quiter donc la place et me rendit a l'auberge la plus proche ou je me commander a manger.*

*Yül pénétra dans ma chambre avant moi et alla se poser sur la table de chevet. Il me regardait alors courir dans tout les sens a rammasser mes effets personnels. Lorsque j'eu finit , je pris mon sac, m'enroulai dans ma cape afin de cacher ma lame, puis appelai le garde . *

Garde- Qu'est-ce qu'il y a ? t'as pas assez d'eau? ou une autre couvertu... ARgghh.....

*Je venait de l'étrangler alors qu'il se penchait pour ouvrir la porte . Yül pris les clefs et me les donna afin que jouvre la porte. une fois sorti, je me fraiyai un chemain dans le noir jusquà la sortie. À ma grande surprise je n'avais pas rencontré de résistance ni même un seul garde. Il faut dire que j'était le premier a m'évader et qu'avec les puces... il pouvaient nous tuer n'importe quand et n'importe où... Une fois dehors je me mis a déambuler dans les rues, sans trop savoir o'ù jallais car, je n'était jamais vraiment sorti de cette arène. *

*Evy était dans un coin pres de l'atre éteint vu la chaleur de l,été. Elle mangeait avec appétie un steak braisser accompagner de patate ronde et de quelque légume très basique. carote et concombre simplement. La lune était encore trop base pour commenceer sont petit jeu de chasse.*

*J'entrai alors dans une auberge qui était a quelques rues de l'arène. Lambiance était chaleureuse malgré la décoratiuon un peu douteuse par rapport au passé de l'endroit. *

Yül - Je crois que le mieux est de ne pas trop nous faire remarquer..., me dit-il dans ma tête. Nous devrions nous installer dans ce coin là-bas.

*Il me désignait de la tête un coin un peu plus sombre . une serveuse vin me demander si je voulait quelque chose mais puisque je n'avais pas d'argent...je lui demandai de l,eau. *

*Je le remarquer très vite. Quel belle surprise de voir ma proie venir à moi. Je ne pu m'empécher de me lever et de le rejoindre a sa table abandonnant mon repas la. Avec l'argent que j'avais cumuller je pouvais bien me le permettre après tout. Arriver à sa hauteur, toujours cacher par ma cape je me m'assie sans demander l'autorisation.*

- A manger pour deux! Déclare-je fort à la serveuse

*Je me tourné vers l'homme*

- Vous n'avez que la peau sur les os! Je refuse de vous laisser mourir sous mes yeux ainsi! Mangez! C'est moi qui paye!

*Malgré la cape qui me cache on pouvais voir une jeune femme. Elle ne souriait pas mais sa vie témoignait de simpathie pour l'homme devans elle.*

* En la voyant arriver Yül se mit a hurler tout en battant des ailes. Rapidement je lui avait coincer le bec de ma main gauche. *

(calme toi!!.., me dis-je )

- Je... je vous remerci, mais c'est beaucoup trop...

*En voyant le visage de cette femme je me dit qu'elle devait être folle pour me payer quelque chose... l'argent est si durement gagner... malgré tout je me méfiait. Au cours de ma vie, javais appris que la bontée ne venait pas gratuitement...*

*La serveuse apporta les assiete et les posa devant moi et l'homme. Je sorti une piece d'argent pour payer le repas*

-Garder le reste et laissez nous maintenant

*La serveuse s'éloigna ravi du pourboire. Pour ma part je regarda l'oiseau*

- Jolie corbeau. Ce doit être difficile à apprivoiser. Je n'ai malheurement pas de pain pour lui. Mais s'il à faim, dit moi et je trouverai surement un truc qui lui fera plaisir.

*Elle se tourna vers la porte puis regarda l'homme avec un air sérieux.*

- Je ne m'attendais pas a votre présence en ces lieux! Manger! Les jours qui viendront serons difficile! Je ne voudrais pas savoir que le dernier est mort sans que j'aille pu lui offrir une chance de survie même si le tout se limite a un repas.

*Elle se tourna vers la porte de nouveau. Visiblement elle se préparais a partir.*

*Lorsque l'odeur de la nourriture vint me chatouiller les narrines je ne peu m'empêcher de la regarder . Cétait loin de la pâtée qu'ils nous servait a la caserne... Le corbeau non plus ne peut y résister . Tête première il picorait dans l'assiette comme si de rien n'était. quant-a moi, je ne pouvait que regarder la femme devant porte. Je me posait tant de questions a son sujet... comment elle savait qui j'était... ce quelle faisait là et surtout ... pourquoi elle m'aidait... C'était insuportable comme souffrance. Mnger ou soulager mon esprit... j'ésitait encore... *

- Attendez!, dis-je en me levant.

*Yül releva la tête. il avait la bouche pleine*

*Je me retourna vers lui et me rassis*

- Qui ya t-il? Ce n'est pas a votre goût? Je peux demander autre chose si vous préférer.

*Je le fixer attendant la suite*

- Non ce n'est pas ça... c'est juste...

*je regardai encore une fois le corbeau s'empifrer...*

- merci...

*peut-être n'aurais-je aucune explications, peut-être étais-ce un piège... peu importe j'aurai le ventre plein après tout. *

*Merci? Pourquoi? Evy ne comprennais trop. N'ayant jamais eu droit a la gratitude des autre elle ne comprennais pas se sentiment. Pour elle c'était simplement s'offrir un défi plus intéressant.*

- La garde vas arriver bientot, chuchotte-je, il doivent avoir trouver votre cellule vide. Mangez vite avant qu'il ne sois trop tard.

*Sur ce elle retourna a sa table plus loin près de l'atre. Elle leur faisait maintenant dos. Elle saissi son verre abandonner la plus tot.*

*Je me rassi a ma table et commençai a manger en piquant ma fourchette à côté des coups de becs de mon volatile . ja n'avait jamais manger quelque chose d'aussi bon ne serais-ce qu'au temps ou je...*

- tu va te la fermer oui?? me dit yül aqui savait exactement ce qui me passait par la tête. mange et ne te pause plus de question tu me donne mal a la tête avec ton charabia...

* offuqué je le chassai de mon assiette et il alla se poser plus loin. *

*Je levai le bras pour appeller le volatille et lui offrir les reste de mon assiète*

*Le corbeau qui me boudait , me quita avec un tel empressement que ma colère monta d'un cran. S'il pensait pouvoir me quitter comme sa pour un bout de pain...

Je me levai et me dirigeai vers la porte.*

- allez vien Yül on s'en va.

*mais l'oiseau retait près des restants de la jeune femme. Je me dirigeai donc vers la table où il se trouvait. en me voyant approcher il alla se percher sur une lampe accrochée au plafond. *

- Tu va descendre oui?, dis-je en perdant patience.

*La femme le regarda attirer l'attention de tout le monde. Elle n'avait pas envi d'être remarquer elle attendit un moment la suite prete a quiter les lieux si l'attention risquais de se poser sur elle*

* tantdis que Yül croassait de plus en plus fort, un groupe de soldat qui fasait leur ronde furent allertés par le bruit . Ils entrèrent donc à l'intérieur de l'auberge. Je les vis avant même qu'ils me voient et yül aussi. Il arrêta instantanément de jacasser et alla me rejoindre. Nous étions encerclés. *

*Aussitot Evy se terra dans l'ombre. Elle observa en se rapprochant discretement de la porte l'action qui se passais. Les gardes comme elle le soupconnais étant venu. Mais peut-etre pas en sachant que l'homme à l'oiseau était en fuite. Alors rapidement elle hurla*

- LUI! IL A ESSAYER DE M'ENLEVER!

*Elle pointait un homme au fond de la salle loin derrière Camlann*

*je profitai de la diversion qui m'était offerte poour sortir de l'auberge . mais décidément quest-ce quelle avait a me sauver comme sa cette fille? *

» Camlann-------} Narah